Elise

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EliseJ’ai commencé à travailler tôt dans un hôtel restaurant d’une ville de province. J’étais jeune et découvrais le monde des adultes. Dans la journée je faisais les chambres et c’était très instructif. A l’arrivée des clients je montais les valises dans les chambres. J’aimais savoir qui occupait les chambres. Parfois c’était un monsieur grisonnant et ventru accompagné d’une toute jeune femme élégante et pas vraiment timide. D’autre fois c’était un couple de femmes dans la trentaine qui s’enlaçaient avant que je referme leur porte. J’aimais voir les lits bouleversés par les ébats de leurs occupants de la nuit. Et parfois retrouver au fond du lit une culotte de femme, mouillée, et oubliée dans la tourmente. Moi j’avais une petite chambrette avec un petit lit, en sous pente au dernier étage sous les toits. C’était inconfortable. Il y faisait chaud et la douche était commune à l’étage pour tous les employés logés. Les autres étaient les garçons de cuisines et les serveuses. L’établissement était tenu par un couple dans la cinquantaine qui logeait dans l’hôtel. Elle s’occupait de l’hôtel et lui des cuisines et du restaurant. Il était enveloppé, buvait un peu et avait les mains baladeuses. Elle ne voulait rien voir car c’était lui le propriétaire et elle avait commencé chez lui comme serveuse avant de se mettre dans son lit. Le soir je servais au restaurant et j’aimais observer les clients très bien sur eux dont j’avais refait güvenilir bahis siteleri la chambre dévastée dans l’après-midi. Le soir on terminait tard et fatigué et le sommeil était rapide à venir. Le matin on attendait notre tour pour la douche et c’était l’occasion de papoter en faisant connaissance. Les autres serveuses racontaient comment le patron les coinçait pour leur mettre la main sur le sexe ou entre les fesses. Elles me dirent « tu as intérêt à ne rien dire, la patronne est au courant et si tu gueules ils te virent ». Un des garçons ajouta « De toute façon elle ne se gêne pas pour baiser dans son dos quand un employé lui plait ». Un autre dit « Et en plus elle en veut vraiment. C’est une vraie salope au lit ». Et ils partirent d’un rire complice montrant qu’ils savaient de quoi ils parlaient. L’une des filles vint me voir dans ma chambre. Elle était là depuis deux ans et elle me rassura en disant que le patron ne l’avait jamais baisée mais qu’il fallait le calmer en se laissant tripoter un peu. Elle ajouta « Moi quand j’ai envie de sexe je laisse rentrer dans ma chambre un des garçons de l’étage. Ils sont tous demandeurs et ne font pas d’histoire entre eux. Le tableau était dressé. Il n’y avait plus qu’à écrire l’histoire. Moi je n’étais plus vierge car j’avais été emmenée dans le foin par un groupe de garçons à la fin du bal de mon village. Mais je n’avais pas d’autre expérience.Un mobilbahis matin la patronne me dit « Elise, vous commencerez par faire ma chambre ce matin ». Je montais à l’étage et j’entrai sans frapper puis commençait à faire le lit. Le patron sortit de sa salle de bain complètement nu. Surprise je me suis excusée et me dirigeait vers la porte. Mais il me barra la route, ferma la porte à clé et me dit « continue, tu ne me déranges pas, je vais voir si tu travailles bien ». J’avais rougi et j’étais très gênée alors il ajouta « j’aime bien les pucelles effarouchées ». Il s’approcha pris ma main et la posa sur son sexe en disant « au travail petite, branle-moi ». Puis il mit ses mains sur mes seins et les pelota fermement. Il descendit et me saisit les fesses à pleines mains en disant « allez astique moi bien la bite sinon je te baise ». Je l’ai branlé de plus en plus vite pendant qu’il me caressait la chatte en ayant passé la main dans ma culotte. Il a éjaculé dans mes doigts et dit « c’est bien, mais je crois que tu peux fait encore des progrès ». Puis il s’habilla et parti travailler. Je me suis lavée les mains en constatant que ma culotte humide montrait que cela m’avait excitée et j’en fus surprise. Je ne dis rien aux autres mais après quelques jours alors que nous étions plusieurs ensemble un des cuistots me dit « Alors t’as été baptisée par le patron ? Racontes ». Comme je ne disais rien un autre ajouta bahis siteleri « Il a jamais tenu plus de trois jours avant de tripoter une nouvelle ». Je leur ai raconté sans leur dire que j’avais été stimulée par cette demande brutale et que je m’étais masturbée le soir en y repensant. Une fille ajouta « Il s’énerve le patron, d’habitude il se contente de nous toucher ». Le lendemain la patronne en souriant me dit que j’avais bien fait sa chambre. Je vous redemanderai quand je n’aurai pas le temps. Et quelques jours plus tard elle m’y envoya tôt le matin. Quand je suis entrée le patron était encore au lit, tout nu. Il me dit « ferme la porte à clé et viens là ». Je me suis approchée et il m’a fait signe de m’asseoir sur le lit. Il a pris ma main, la posée sur sa bite déjà dressée et m’a dit « tu travailles bien mais je veux que tu te perfectionnes ». Je ressentis une boule de désir envahir mon bassin. J’aimais cette perversité. Je l’ai caressé pendant qu’il me tripotait entre les cuisses. Puis sans qu’il ne demande rien je me suis penchée et je l’ai pris dans ma bouche pour faire ma première pipe. J’étais peu adroite et je l’entendais me guider « c’est bien petite salope, tête bien le gland, suce plus profond ». Quand il a éjaculé dans ma bouche j’ai aimé le goût de son sperme et je l’ai avalé. J’étais très excitée et il l’a vu. Il dit simplement « Toi tu es une cochonne et ça me plait, on va bien s’entendre ».Cela fait trois ans que je suis dans cet établissement. Le patron ne m’a jamais baisé mais je prends beaucoup de plaisir à le faire jouir une fois par semaine. Je suis devenue chef de rang au restaurant. Mon amant qui est un chef de cuisine ne sait rien. Il m’a félicité pour ma promotion.

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