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Laura et son patron

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Laura et son patronJ’avais répondu à l’annonce d’une agence de communication, qui cherchait une assistante de direction. J’arrive pour l’entretien d’embauche, à l’heure et plutôt strict dans ma tenue.Je me présente, Laura, grande brune plutôt timide, 27 ans, sans mec depuis 2 ans parce que je ne supportais plus d’être sa mère. Je me laisse volontiers draguer si le garçon qui m’aborde m’impressionne, et je me laisse volontiers guider dans des aventures tant quelles m’amusent. Si c’est une fille, il faut qu’elle soit encore plus autoritaire, qu’elle fasse l’homme pour me charmer et que je m’abandonne à elle, sans retenues.Une tête de première de la classe, qui fait du sport pour s’entretenir, je rougie souvent quand des hommes fixent ma grande silhouette, 1m74 pour 64 kg. La mode c’est ma thérapie contre la timidité, mes jupes courtes et tee-shirt moulants provoquent les rencontres. Mes longues jambes et mes seins dardés attirent les regards, et je fait le trie avec la conversation pour savoir qui suivre dans des fantasment à réaliser.Retour à l’agence, une première impression ne se fait pas au second rdv. J’ajuste mon tailleur, refait mon chignon, rigueur d’une grande féminité. L’assistante à l’accueil, qui me demande de patienter en annonçant mon arrivé au patron, est un stéréotype de pub, pure fashion victime, blonde, grande me semble t il, avec un décolleté qui doit provoquer des érections chez les garçons livreurs. L’air un peu garce, avec son soutien à gorge rouge qui laisse voire le début des deux mamelons, d’une vulgaritéretenue, genre porno-chic, …Elle se lève, me domine de quelques centimètres avec ses talons. Elle plante son regard dans le mien, me frôle de ses seins en passant devant moi, m’invite à la suivre et m’abandonne au pied de l’escalier, alors que le patron descend. Grand brun, les épaules larges et l’air avenant, il tranchecomplètement de l’assistante, il est raffiné et intelligent. Dominateur sans doute, il me serre la main énergiquement en me jaugeant du regard, je le suis dans son bureau.On s’assoit, lui se calant dans un large fauteuil, moi sur le bord d’un des deux petits fauteuils en cuir faisant face un bureau. Physiquement, je suis plus basse que lui, je croise mes jambes. Il me présente très rapidement la boîte, née il y a 2 ans, passée de 3 à 18 collaborateurs, qui fait de la communication sur une niche de marché, la moyenne d’age est de 32 ans. Lui s’appelle Marc, à 37 ans et tient autant que faire se peut à être proche de ses collaborateurs.Il m’interroge un peu, mes diplômes, mon expérience, ma situation familiale, ma disponibilité. Il insiste sur la « disponibilité », c’est la clé de voûte de la culture de l’entreprise, satisfaire par tous les moyens les clients, pour les fidéliser, L’apparence aussi, une agence de communication doit véhiculer une aisance, une beauté, restez belle comme vous l’êtes aujourd’hui. Les tabous, à laisser à la porte du bureau, même si une assistante de direction n’est pas une créatrice, le personnel d’une agence de communication est « sans a priori », « ouverte » au monde à représenter.Je recule un peu dans le fauteuil, je l’écoute en me disant que cette agence affiche des pré requis précis et particuliers, avec le style de la réceptionniste, c’est quand même bizarre, .Il me demande si j’ai des questions à pauser : salaire, horaires, encadrement, . Je suis d’accord avec ses propositions : un bon fixe avec des primes de motivation, des horaires variables qui convienne à mon rythme de célibat, et je dépendrais de lui directement, il déléguera si besoin canlı bahis son autorité. Il me présente mon contrat, que je parcours à peine, vérifiant simplement les conditions de salaire sont bien les mêmes.« Ça y est », je signe mon premier CDI à 25 k? annuel, avec 2 mois à l’essai renouvelables une fois, je commence le lundi d’après. Je suis tout sourire et rentre chez moi, le charme de marc agit sur moi, il me rassure, pourquoi provoque t il en même temps mes angoisses ?.Pendant le week-end, je réfléchie que je ne sais même pas quels sont les clients de cette boîte, sur quelle niche de marché ils sont, Je relis mon contrat de travail, qui insiste sur la disponibilité, l’apparence et l’autorité directe, mon poste est assistante personnelle de direction,Lundi, je me réveille tôt, file sous la douche pour revenir devant ma garde robe. Là, j’entend ce que m’a dit marc au premier entretien, « n’oubliez pas ma chère Laura, en venant lundi, soyez disponible, belle et ouverte au monde ». Après quelques minutes de réflexion, je me décide pour un tailleur d’été gris bleu, jupe assez courte avec une veste croisée, et une brassière en dentelle bleue sous celle-ci, et la culotte assortie. Des talons un peuplus haut que d’habitude pour « coiffer » la pouffe de l’accueil, je me sens légère et un peu angoissé par ce premier jour de travail.J’arrive au bureau avec une demi-heure d’avance, la pouffe blonde n’ est pas encore là. Je monte directement cogner à la porte du bureau de mon patron. Toc, Toc, « entrez ». « Bonjour monsieur », « bonjour Laura, appelle moi marc, approche ». Son siège est assez reculé du bureau, en m’approchant, je vois la pouffe de l’accueil sous le bureau, en train de sucer marc, sans rien dire, s’appliquant à bien avaler et complètement une bite de très belle dimension. Mes yeux reste fixer sur cet engin dont elle se goinfre, je ne dit rien, je sus figée.« Et bien Laura, ne sois si bête, tu n’as jamais fait une pipe ? » « si monsieur, balbutiais je, rouge pivoine » « alors, asseyes toi, je ne te paie pas pour te rincer l’oeil, du moins pas encore, j’ai du courrier à te dicter ».Je retrouve un peu mes esprits, assise, je ne vois que le haut de la tête blonde qui bouge, je m’en détache pour fixer mon carnet de note sous le regard de marc. Dans ma tête, c’est cette bite qui me préoccupe, je suis jalouse de la pouffe vulgaire qui se délecte à pleine bouche, je délire, je suis là pour travailler, je suis assistante de direction, je ne suis pas une salope dont on profite, je suis une fille bien !« Très bien ma chère Laura, il faudra t’y habituer, bienvenu à Advice Life Corporate. Elle s’est Katye, elle travaille à l’accueil et au standard.Pour décrocher le maximum de prime motivation, elle me sucequotidiennement, ça améliore son ordinaire. Tout à l’heure, on fera le tour de l’équipe, tu es très belle aujourd’hui, tu auras un bon accueil, maintenant au boulot ».Sur ce, il commence à me dicter une série de lettres, pour des clients, des fournisseurs, Au bout d’un moment, il s’arrête, son souffle s’accélère, son bassin se soulève un peu puis retombe, je viens de voire jouir mon patron dans la bouche d’une autre que je ne vois pas. Quelle saveur peut avoir son sperme, combien en a t il éjaculé, cette garce a t elle tout avalé ?. Je vois Katye se relever, elle a du sperme au coin des lèvres, le mêmetailleur que l’autre fois, mais sans soutien à gorge, sa veste est ouverte, ses seins sont lourds et blancs, ils pointent, j’ai envie d’en sucer un,Katye sort, non sans m’avoir jeté une œillade, l’air effronté et fier bahis siteleri d’être la pute de son patron.« Très bien Laura, vous me tapez tout ça et revenez tout à l’heure pour me les faire signer. Au fait, être ouvert, ça veut dire ne pas avoir de culotte. La tienne est très belle, mais c’est une barrière vers ta beauté, une preuve d’indisponibilité pour nos clients, merci de la laisser sur mon bureau avant d’aller dans le tien »Je suis abasourdie, mon patron est un obsédé, je reste figé sur le fauteuil. « Eh bien Laura, je croyais que tu étais sous mes ordres, ta culotte, maintenant, ou c’est la porte ». « Mais monsieur, ce n’est pas légal et je ne suis pas un putain comme Katye ». « Arrêtes de faire ta mijaurée, je sais que cela t’excites, ici c’est moi qui donne les ordres, toi tu obéis ».Je ne manque pas de propositions de travail, je pourrais planter là ce goujat, mais j’ouvre mes jambes, soulève mon bassin et fait descendre ma culotte, que je pose en boule sur le bureau de marc. Le mouvement est rapide, ce salopard n’a pas du avoir le temps de voire mon pubis. La sage et timide Laura est docile, elle enlève sa culotte le 1 jour, enivrée de fantasmes refoulés sous la forte influence de marc,« Très bien, c’est mieux, je savais que tu étais docile. Maintenant, à ton poste, et ne te masturbes pas, c’est interdit sans mon autorisation. Et vu comment ta culotte est trempée, je préfère te prévenir que tu devra attendre pour te soulager, bien compris petite pute»« Oui monsieur », je m’entend accepter de me soumettre alors que j’aurais du envoyer se faire foutre ce connard et l’attaqué au prud’homme.J’entre dans mon bureau, qui jouxte celui de marc. En colère contre moi, excitée, curieuse de connaître les autres collaboratrices, sont elles toutes passées à la casserole ? Que m’arrive t il, j’ai accepté ce petit caprice de mon patron, où cela va t il s’arrêter, saurais je dire non ?Pourquoi ais-je envie de sa bite ? Pourquoi vais je accepter tout ce qu’il va m’ordonner ?La dernière lettre sort de l’imprimante, toutes sont rangées dans le parapheur, je vais faire signer marc. Toc, Toc, « entre Laura, merci, asseyes toi ». Il parcours chaque lettre, signe rapidement, sa signature s’étale au bas de chaque page.« Très bien, je suis content de toi, tu t’adaptes et travailles bien. J’espère que tu seras aussi bonne en clientèle, c’est très important. Nous travaillons pour les décideurs, des industriels, des hommes politiques, .,ils sont habitués à un service personnalisé de très bonne qualité, . ».J’acquiesce, et demande quel est le programme de cet après midi.« Avant d’aller déjeuner, tour des bureaux et apéritif de bienvenue avec toute l’équipe. Après, tu prends connaissance des trois dossier que voilà, nous avons rdv avec des députés allemands pour leur voyage d’étude en France ». « Mais avant, dits moi, tu étais toute excitée tout à l’heure quand Katye me suçait, tu as eu envie de ma queue ?».Je deviens écarlate, les jambes serrées, baissant les yeux pour bafouiller une réponse inaudible. « Plus fort, sois sincère, tu voulais être à la place de cette putain de Katye, tu te demandais quel goût avais mon sperme, pas vrai ?». Je suis déstabilisée, il me pousse dans mes retranchements ?« Oui, marc, j’aurais voulu être sous le bureau, t’avaler complètement, te lécher longtemps, et me gaver de ton foutre ». Je franchis mes limites, dévoile mon fantasme, et marc me guide.« Et là, tu mouilles en me disant ton désir », « oui, je suis excité »,« alors, il vas falloir que tu m’excites, faits moi voir comment tu te branles bahis şirketleri bien, j’ai envie de voir ta chatte caressé par tes doigts ».Au début, je ne bouge pas, puis je me cale au fond du petit fauteuil, non sans avoir relevé ma jupe en même temps, impudique. Mes jambes passent de chaque côté d’un accoudoir, j’ai la chatte grande ouverte face à marc, mon patron. Une de mes mains plonge aussitôt sur mon bouton, le serre entre deux doigts. Ma tête se renverse, l’autre main ouvre ma veste, détache sur le devant ma brassière, pour libérer mes seins. Ce n’est plus mon bouton qui intéresse mes doigts, mais mes lèvres. Je les griffe, les caresses, les écrase, elles luisent et mouillent beaucoup. Elles veulent conduire mes doigts au fond de moi, appelle à me fourrer à pleine main.Je me pince le bout de chaque sein, ils sont sombres, bronzés, mon 95 B m’autorise à pouvoir les sucer, je que je fait en relevant la tête. Là, je vois marc en train de se branler, je ne remarque pas la petite DV sur le coin du bureau, qui est en train d’enregistrer mon show pour marc. Il le lève, sa grosse queue dans une main, il me demande si j’aime faire la salope. « Oui, je suis ta chienne, je veux t’avaler ».Marc s’avance, pour que je puisse gober sa queue. Mes deux mains sont descendues, l’une s’occupe de ma chatte, l’autre de mon bouton, je mouille comme une folle. Les siennes s’occupent de mes seins, les pétrissent, les maltraitent, j’ai envie qu’il les serre plus fort. Je l’avale à moitié, le recrache, je suis folle de son chibre. Seins mains quittent mes seins pour prendre la DV et mieux me filmer. Ce salopard fait des gros plan sur mon visage en train de le sucer goulûment, sur mes mains qui fouillent ma chatte, je suis une chienne hystérique qui s’offre au mâle dominant, qui vas voir cette vidéo ?.« Tu suces bien mais je suis pressé de jouir, on doit encore faire le tour des bureaux. Lèves toi, et met toi debout face au bureau, et écartes les jambes, cambres toi » Marc se cale derrière moi, sa bite va et vient sur mes lèvres, je mouilles et lubrifie sa queue qui vient titiller mon anus. Il commence à me limer la chatte, je suis tellement ouverte qu’il me laboureviolemment dès qu’il rentre en moi. Depuis ce matin, je rêve de me faire prendre. Ses mains écartent mes fesses, son gland vient se pointer dans mon petit trou encore vierge.. Je serre l’anus, son gland ressort. « Petite salope, tu es encore vierge du cul pour peu de temps, ma queue veut être à l’étroit » « non, je ne veux pas », « tu es à ma disposition, et tu vas m’offrir ton cul maintenant ». Il donne un coup de rein pour faire rentrer son nœud dans mon cul, mes deux mains écartent mes fesses comme si je voulais le sentir au plus profond. J’ai mal. Il ressort d’un coup, va lubrifier sa bite sur ma chatte et me pilonne de nouveau le cul. Ce dernier s’est ouvert, je sens une chaleur au fond de mes boyaux, j’ai envie qu’il jute pour l’éteindre, qu’il me laboure pour m’enflammer encore.Je suis allongé sur le bureau, une main dans ma chatte, l’autre dans le vide. Sentir marc jouir en moi déclenche mon orgasme, je me secoue, mon corps n’appartient plus qu’au paroxysme du plaisir. Marc se retire, et va s’asseoir dans son fauteuil. Je reste encore étendu sur le bureau quelques secondes, le temps de réaliser que je viens de jouir comme jamais, que je suis au bureau, que j’ai honte, qu’il faut que je m’habille tout de suite, que ce type m’a fait sortir de mes limites..Je me remets dans le fond du petit fauteuil, les vêtements mal ajustés, le chignon défait, interdit, muette. « Je te donne 5 minutes pour être présentable, il y a un cabiné de toilette à côté. Notre société est respectable, nos collaborateurs sont BCBG, pas des dévergondés de 3ème zone, tu dois faire bonne impression à tes collègues, ».Laura

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