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Cette histoire est basée sur la déchéance d’une femme. C’est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n’aimez pas le genre, vous n’aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l’aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c’est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c’est mon meilleur texte écrit jusque à présent.
Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j’ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l’écrit, je l’ai appris à l’école, en Italie, ce qui explique que j’ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d’orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d’accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m’excuser pour ce souci, que j’améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, sont plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.
Pour finir, les quatre premiers chapitre de cette histoire sont parus entre décembre 2018 et mai 2019. Si vous voulez vous rafraichir la mémoire…
Puis ce que je redoute tant arrive. Si j’ai pleurée et criée quand ils m’ont violée par devant, ce n’est rien comparé aux hurlements que je suis en train de pousser maintenant. Debout, appuyée contre un mur, je subis les assauts anal de Greg. Il me sodomise comme un fou, comme ça, debout. Me déchirant, me massacrant. Quand il éjacule dans mes intestins, ça me brûle comme l’enfer. Dès qu’il se retire, je m’écroule au sol. Meyer le remplace aussitôt dans mon petit trou. Me prenant en levrette, tandis que Greg s’enfonce dans ma bouche, m’obligeant à le sucer. Enfin, il se sert une nouvelle fois de mon orifice buccal comme d’un sexe, me prenant à grands coups de reins.
Ils me violent comme cela une bonne partie de la matinée. L’un me force le vagin ou l’anus, tandis que je dois en sucer un autre. Comme d’habitude il se gave de pilule sexe-dure. Quelle invention que ce truc. Je maudit ce Jonas pour cet invention qui permet de baiser des jours, sans aucun risque pour le mâle.
Je suis épuisée, à bout de force. Je me repose un peu vers midi, quand ils mangent. Même si je n’ai toujours pas manger depuis le début de mes viols, je n’ai pas tellement faim. Je ne sais pas combien de temps je vais pouvoir tenir ainsi, j’espère toujours qu’ils ne vont plus se servir de mon corps longtemps. Mais une chose est certaine, j’ai subis le pire, ils ne pourront pas me faire plus de mal que mon dépucelage anal ou la cravache. Hélas, le futur va me prouver combien je me trompe.
Ils mangent et boivent pendant une bonne heure. Après le repas, je leurs sers de nouveau de WC, ils me font boire leurs urine. Heureusement, ils ne se servent pas de moi comme papier-toilettes pour leurs grosse commission, ou pire que de me faire lécher leurs derrières sale, voir carrément de me déféquer dans la bouche. Heureusement c’est une chose qui ne les branchent pas.
Après ma rasade d’urine, je vais de nouveau être violée. Par devant, par derrière, dans la bouche. Je subit, pleure et hurle, voilà ma vie aujourd’hui, je ne sais pas comment je fais pour ne pas devenir folle. Puis après une dizaine de viols, je dois m’empaler sur le pénis de Jérôme. Il est couché sur le sol, je feule de douleur tout le temps où je fais rentrer le sexe masculin en moi. Puis après quelques va-et-vient, Jérôme me plaque contre son torse. Je pense qu’il va me défoncer lui. Ils me l’ont déjà fait souvent.
Hélas, cela ne ce passe pas comme ça. Je pousse un geignement de surprise quand je sens Greg se mettre derrière-moi, puis me saisir aux hanches. Je sais que c’est Greg, car Jérôme est sous moi, Meyer est assit sur le canapé en face de nous. Il se branle en regardant son ami et moi copuler. Je me demande ce que Greg veut faire. Dans mon cerveau bien naïf des choses du sexe, je ne vois vraiment pas. C’est un truc que j’ignore. Ne parlant jamais de sexe, ne regardant aucune vidéo cochonne, jamais je n’ai pus imaginer un tel truc.
Quand je sens le sexe de Greg se glisser entre mes fesses, je comprends immédiatement ce qu’il veut faire. C’est impossible, il a faillit me tuer en me sodomisant, il a faillit me fendre en deux, là, il ne peut pas faire cela. Il ne peut pas mettre son engin dans mon petit trou alors que mon vagin est déjà occupé par un pénis!
– Noooooooooooon!!!
J’ai hurlée, je me débats, j’ai ruée, mais rien, Jérôme est trop fort, il ne me lâche pas.
– Pitié, Greg, pas ça! Tu vas me tuer, tu vas me tuer!
Il ne me répond pas, se contentant de forcer de son pieu. Mon anus que je contracte au maximum, est encore plus serré que Ümraniye travesti lors de mon dépucelage anal, la faute à Jérôme et sa bite, fichés immobile dans mon ventre.
Mais rien, aucun orifice, aussi étroit soit-il, ne peut résister indéfiniment à un pénis qui veut le pénétrer. Malgré mes ruades, malgré ma contraction, je sens mon petit trou se dilater légèrement, faire la place au gland de mon violeur. Greg force comme un fou, encore plus que pour ma première sodomie. Je pense donc que mon orifice anal est encore plus étroit que lors de mon dépucelage. D’ailleurs la douleur qui en émane déjà me le prouve. Greg qui en est juste à l’étape de la dilatation de mon anus, me fait déjà atrocement souffrir. Comme la mèche de la foreuse d’un puit pétrolier, il dilate très lentement, mais inexorablement, la petite étoile plissée que les hommes et les femmes ont en commun.
Puis d’un coup, à force d’énergie, le bout de son gland pénètre dans mon corps. Le craquement que fait mon anus en se fissurant un peu plus est effroyable. Tout comme mon hurlement. Je rue tellement, que je réussis à soulever le corps de Greg. Avant de m’écraser comme une crêpe sur le corps de Jérôme. Coincée entre leur deux corps, je comprend ce que ressens une tranche de jambon, dans un sandwich jambon-beurre. Quoique la tranche de jambon, elle, ne se fait pas enculer. Tanis que moi, en plus, je n’ai pas de beurre pour lubrifier mon petit trou et faciliter la pénétration.
Inexorablement, il avance son pieu dans mon corps. Millimètre par millimètre. Je hurle de plus en fort, je pense que mes cordes vocales ne vont pas tarder à péter. Ma bouche est grande ouvert sur cet hurlement continue, mes yeux menacent de sortir de leurs orbites, ma peau est si rouge que l’on dirait que je vais éclater. Ma peau couverte de chair de poule est trempée de transpiration. Je bave, de la morve coule de mon nez, mon visage est atrocement déformé par ce que j’endure.
Vous vous demandez sûrement comment je sais cela. Greg filme tout, grâce à des caméras cachés dans chaque pièce. Plus tard, tout en me violant, il me fera regarder tout. Depuis le début. Mais en attendant, je le sens faire la place dans mon corps, poussé tout mon intérieur pour que son pénis rentre en moi. Malgré l’envie qu’il a d’aller vite, la bite de Jérôme qui gonfle la séparation entre mon vagin et mon anus, l’empêche, hélas, de progresser plus vite. Hélas, car en allant lentement ma douleur est décuplée, elle dure plus longtemps. Ce monstre me fait subir la plus horrible des tortures. Je ne le sais pas encore, mais son imagination sans bornes en matières de souffrance féminine, fera qu’il me fera connaître pire encore, bien pire.
Mais pour l’instant revenons à ma première double pénétration. Enfin double vaginale et anale, j’en ai déjà vécue, buccal et vaginal ou buccal et anal. Là, cela n’a aucune comparaison possible en matière de souffrance abject. Greg n’a enfoncé qu’un quart de son pénis en moi, mais je peux vous citer comment il est fait, millimètre par millimètre. Mes entrailles pulsent contre lui, lui donnant le sentiment que je le branle de mon intérieur. Je sens mes viscère que je peux compter un par un, s’écarter sur le forage de Greg. Mon périnée est gonflé à fond par le sexe de Jérôme dans mon vagin, mon raphé n’est plus trop médian, tout concoure pour empêcher l’introduction du pénis par là. Mais mon assassin veut à tout prix me pénétrer en entier, pour me prendre comme un soudard ensuite.
Enfin, après des heures de souffrances, pour la durée, c’est uniquement mon ressentit, car en fait la pénétration à durer vingt minutes, Greg est complètement en moi. Je sens son ventre contre mes fesses démesurément ouverte, je sens ses couilles, sur celles de Jérôme, contre mon vagin. Les deux restent immobile, tandis que moi, langue tirée, yeux toujours exorbitée et emplit de larmes, je cherche à reprendre mon souffle. La douleur épouvantable est toutefois moins forte que lors de la pénétration. Greg et Meyer sentent chacun le pénis de l’autre au travers de mon périnée, cela a l’air de vraiment leur plaire.
Puis l’enfer se déclenche à nouveau, quand ils décident de bouger ensemble. Je me remets a hurler sans discontinuer, le feu en moi est dix fois plus fort maintenant. Provenant de mon vagin et de mes intestins comprimés, contractés à l’extrême. Mes orifices sont encore plus serrée que ceux d’une jeune vierge.
Au début, les mouvements sont maladroit. Puis ils se synchronisent, me faisant encore monter d’un cran dans la douleur. Quand l’un recule, l’autre avance. Ils me défoncent, me massacrent, ils déchirent mon vagin, ils fissurent mon anus. Ils me font saigner… beaucoup…
Heureusement pour moi, la sensation que leurs procurent mes trou affreusement dilatés est tel, qu’ils ne dureront pas longtemps en moi. En moins de quinze minutes, ils jouissent dans mon corps, m’inondant de leurs poison, simultanément. M’inondant encore et encore, me remplissant Ümraniye travestileri à ras-bord. La brûlure de leurs semence est telle, que je m’évanouis. Enfin.
Quand je reviens à moi, j’ai encore deux bites dans mon corps. Mes hurlements reprennent aussitôt. Cette fois je suis empalée sur Greg et Meyer me prend par derrière. Jérôme lui est devant moi, dès qu’il voit que je suis réveillée, il s’enfonce dans ma bouche. Cette fois c’est les trois qui jouiront ensemble.
Ils me violent comme cela, à trois, tout l’après-midi. Chacun d’eux violant plusieurs fois chacun de mes orifices. De temps en temps ils me laissent quelques minutes tranquille, pour me faire boire leur urine. Urine et sperme seront mes seuls repas et boissons de la journée. Vers vingt heures, ils me laissent enfin tranquille, pratiquement agonisante. Dégoulinante de sperme et de sang mélangé. Mais hélas rien de grave, rien qui pourrait les empêcher de me violer de nouveau, tout est superficiel, rien que des blessures légères, même si c’est hyper-douloureux. Pour manger. L’odeur de cuisine, réveille malgré mon état, un peu la faim.
Ils me sortiront pour mes besoin après leurs repas. Ensuite, ils me violeront de nouveau, à l’intérieur. Mais un seul à la fois, me faisant presque ressentir du soulagement. Ils me laissent me reposer à une heure du matin. J’ai pus prendre une douche juste avant, même si, à tour de rôle, je me suis faîtes forcée. Je me réveille à six heure, le sexe trempée. Je pense en me réveillant, que je me suis mal nettoyée avant d’aller me coucher, et que du sperme de la veille coule. Puis la vérité éclate, je suis heureuse, j’ai mes règles, au moins je vais être tranquille vaginalement. A aucun moment je ne pense au risque de grossesse.
Mais je me trompe. Quand il se réveille, après avoir uriné et jouit dans ma bouche, Greg me fait nettoyer le sang de mes anglaises qui tâche le sol. Avec la langue. Il mettra une grande serviette de plage sur le sol. Ils me prendront dessus. Il me prévient néanmoins que je devrais lécher chaque tache de sang que je ferais ailleurs que sur la serviette. De nouveau, je passe la journée à me faire prendre, un par un, par deux ou par trois, chacun occupant alors un orifice. Je ne suis tranquille qu’un peu à midi. Même si la faim me tenaille un peu plus que la veille. Je me demande quand ils vont me donner à manger, mais surtout, quand vont-ils se lasser de moi et de mon corps, pour simplement me laisser enfin tranquille.
Mais ça n’a pas l’air d’arriver, ils me violent toute la journée, comme le matin, ne me laissant tranquille que pour leur dîner. Après leurs repas du soir, où j’ai du mal a ne pas leurs demander à manger, ils vont descendre d’un cran de plus dans l’horreur. Et surtout dans la douleur pour moi. Me prouvant que chaque fois que l’on crois être au fin fond de l’enfer, et bien on peut y aller bien plus profond. Je suis empalée sur Meyer, quand Greg se met derrière moi. J’ai tellement était prise en doublette, que je ne me débat plus. Attendant simplement de hurler quand il forcera mon anus boursouflé. Mon sang qui salit sa bite, n’a pas l’air de gêner Meyer, pas plus que l’odeur de mes règles.
D’un coup je panique. Ce n’est pas possible, il ne va pas tenter ça. Pas sur moi! Ce monstre vient de poser son pénis sur celui de Meyer qui me remplit déjà presque totalement. Et c’est dans mon vagin qu’il cherche à rentrer. Là, je vais mourir, c’est certain. Jamais deux bites de cette taille ne pourront rentrer en moi! Ils vont me tuer, c’est évident! Je me dis que ce n’est peut-être pas plus mal, car si ils en arrivent à vouloir me violer comme cela, je risque de morfler grave dans les jours qui viennent. Alors autant quitter ce monde. Je suis détruite, je n’en peux plus. Ce que je vais subir ce soir est vraiment abject. Alors je décide de les laisser faire, sans me débattre. Je me mets alors à prier pour ne pas survivre à la nuit qui vient.
Greg me manipule pour trouver le meilleur angle de pénétration. Finalement, il me remet dans ma position de départ. Moi, je prie toujours pour que dieu m’arrache à ce monde. De nouveau, je sens son sexe forcer. Peu a peu, il arrive à ses fins. Mon vagin accepte le début de l’intromission. Enfin quand je dis il accepte… disons que Greg le déchire suffisamment pour rentrer. Son gland commence à se frayer un chemin en moi. D’abord le bout du gland. La douleur est telle, que je rue encore plus que pour ma première double pénétration anal-vaginal. Cette fois je manque vraiment déséquilibrer Greg. Il s’en est fallut de peu, mais le petit morceau de son gland est toujours en moi quand je m’écroule de nouveau sur Meyer. Hurlant comme une malade, m’en décrochant presque les mâchoires, manquant encore plus que la dernière fois me péter les cordes vocales. Je sens les petites et les grandes lèvres de ma vulve s’écarter, se déchirer, éclater, sous la pénétration de Greg.
Ce salaud est en train d’ouvrir mon sexe au-dessus Travesti ümraniye de ses possibilités. Bien au-delà de ses limites… Je sens ma vulve devenir béante sous la pression de Greg. Et moi je hurle de plus en plus fort. Je le supplie, je suis prête à tout accepter, mais qu’il arrête, pitié, qu’il arrête.
Ce monstre ne me répond pas, il rigole, et continue. J’ai un violent soubresaut, son gland est en moitié en moi. La douleur est intolérable. Je prie pour mourir, et aussi, pour au moins m’évanouir. Mais dieu est absent ce soir, ni l’un, ni l’autre n’arrivent. Greg quand à lui, souffle, peine, mais progresse, demi-millimètre par demi-millimètre. Jamais je n’aurais crus cela possible. Deux pénis dans un seul et même orifice féminin. Encore moins si on m’avais dit que ce serait le mien qui subirait cela. Pourtant je le vie, là, maintenant.
Ça y est, le gland est passé, son putain de gland est dans mon vagin, en plus de la bite de Meyer. Mon corps est arquée, je gueule comme une truie que l’on égorge, sans discontinuer. Comment cet hurlement de souffrance atroce ne peut-il pas, si ce n’est éveiller leur compassion, au moins tellement leurs vriller les tympans, qu’ils me laissent tranquille? Mais non, rien n’y fait, ils continuent, ils apprécient. A travers mes larmes, je vois le sourire de Meyer. Cela doit-être pareil pour Greg dans mon dos. Mon corps dégouline de sueur tandis que l’intérieur de mon vagin s’agrandit sous la poussée de mon second violeur. Il ahane, grogne sous l’effort, mais sa progression est régulière. Le sang, mon sang, qui suinte, les aident grandement dans leurs entreprise de destruction de mon vagin.
Meyer m’attrape par les cheveux et plaque mon visage contre le sien. Sa langue pénètre dans ma bouche, nos baves se mélangent. Je continue de hurler dans sa cavité buccale, tandis que sa langue s’enroule sur la mienne. Greg lui, avance de plus en plus. Décuplant, à chaque seconde, ma douleur. Jusque a ce qu’elle atteigne un point indescriptible, quand ce monstre se trouve lui aussi complètement en moi. Il lâche un petit cri de victoire quand son sexe me pénètre en entier. Distendant incroyablement mon vagin, j’ai l’impression d’exploser de l’intérieur. Je suis sur que cela doit se voir, que je dois avoir une boule sur le ventre. Boule que je verrais si mon ventre n’était pas collé contre le corps de Meyer.
Les deux pénis sont totalement en moi. Ils restent immobile. Je hurle toujours comme une malade, hurlement qui se perd dans la bouche de Meyer qui m’embrasse toujours. Je sais que le pire reste à venir, quand ils coulisseront, si ils y arrivent, dans mon corps. Mon intérieur, si douloureux pour moi, compresse délicieusement leurs sexes. Mes parois intimes palpitent à une vitesse folle, massant parfaitement leurs engins. Quand à moi je suis la putain, la dinde que l’on fourre.
Puis, comme je l’ai imaginée, ma souffrance se décuple, quand ils se mettent à bouger dans mon vagin. Habitué par les doubles pénétration anal-vaginal, ils sont immédiatement synchrone. Leurs pénis se frottant l’un à l’autre, englobé par mon vagin distendu. Quand l’un sort, l’autre rentre. Meyer à cessé de m’embrasser, alors je laisse libre court à mon hurlement. Depuis le début de mes viols, j’ai l’impression de ne plus faire que ça : Me faire violer, me faire remplir l’intérieur de l’un ou l’autre de mes orifices pénétrable, souffrir et hurler. Et cette fois, ils durent longtemps, leurs sexe compressés par mon vagin douillet, me déchirent, me détruisent.
Quand au bout d’un temps plus long que l’éternité, ils éjaculent en moi, mon utérus et mon vagin sont vite remplient de sperme. Ils en envoient tellement que ça déborde. Moi, je lance un ultime hurlement quand leurs semences brûle mes chairs intime à vif, avant de m’évanouir.
Greg pince et tord mes tétons pour me réveiller. Ils sont encore en moi, leurs pénis encore dur. Quand ils sortent, j’ai mal. Puis une fois vide de leurs engins, je sens mon vagin qui reste béant, grand ouvert, dégorgeant un flot de sperme et de sang. Sang dut à mes règles mais aussi à une déchirure, ou de nombreuses, je n’en sais rien. Mais je n’ai pas le temps de m’attarder dessus. Dégoulinante de semence, je dois m’empaler sur Greg. Cette fois, c’est Jérôme qui fera le deuxième pénis en moi.
Ils m’ont forcée comme cela longtemps, trois fois chacun. Changeant de doublette à chaque fois. Ils ne m’ont laissée que quand vaincu par la douleur et par mes hurlements, j’ai sombré dans un sommeil comateux. Quand je me suis réveillée, sur le sol, menottée, mon vagin était encore grand ouvert, suintant des litres de semence qu’ils ont injectés dans mon ventre profané.
Le matin à été plus tranquille. Après ma ration d’urine et de semence comme petit-déjeuner, c’est dans ma bouche qu’ils ont enfoncé deux pénis. C’était tout aussi humiliant, mais moins douloureux. Plusieurs fois ils ont faillis me déboîter les mâchoires, sans y arriver. Le plus dur fut d’avaler leurs éjaculations. Quoique étant entraîné par leurs urines, ce ne fut pas si éprouvant que cela. Pour tout vous dire, j’ai préférée cela au deux pénis dans mon vagin ou a un dans l’anus et l’autre dans mon sexe. J’en arrive à préférer une humiliation, un viol, une douleur à une autre. Je suis tombée bien bas.
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