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Traduction d’un texte de creativeboyinspring.
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Je vous remercie pour tous les commentaires sur la première partie de cette histoire. J’espère que cette deuxième partie vous conviendra. La troisième et dernière phase sera bientôt publiée.
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Je suis Michelle, une trentenaire qui a toujours voulu faire quelque chose de fou et amusant. Je n’ai jamais été exhibitionniste ou dévergondée quand j’avais 18 ans ou quand j’étais à l’université. Je n’ai jamais montré mes seins dans une fête, je n’ai jamais sucé un inconnu dans une ruelle en étant ivre. Je n’ai jamais vraiment fait de trucs BDSM, à moins que l’on ne compte mes quelques amants qui m’ont donné une claque sur le cul pendant qu’on baisait. J’ai toujours été trop gênée pour ce genre de choses, et même ivre.
Avec ces idées en tête et un regret persistant, j’ai répondu à une annonce sur internet, une annonce de sexe. Cette annonce qui semblait avoir été écrite par une personne normale demandait s’il y aurait une femme qui serait désireuse de participer à un gang-bang. L’annonce était bien rédigée et le gars à qui j’ai envoyé une réponse avait l’air normal. Je me suis fait avoir. Oh oui, je me suis fait avoir. Ou peut-être aurais-je dû m’apercevoir de certains signes, mais je suis trop stupide pour les voir. Suis-je stupide?
Vous voulez savoir pourquoi je pense être stupide? Pourquoi je pense être l’une des salopes les plus stupides de la planète? Laissez-moi vous expliquer.
C’est parce que j’ai répondu à cette annonce. Parce que lorsque j’y ai répondu et que j’ai échangé des messages avec celui que je pensais être un homme normal et poli, j’ai été franche et honnête en lui disant toutes les choses que j’ai toujours voulu essayer, comme si nous étions des amis depuis plusieurs années. J’ai sauté sur l’occasion et je lui ai dévoilé mes envies cachées les plus profondes.
Et maintenant, quelle est ma récompense d’avoir été si stupide? Je suis actuellement complètement NUE, les mains attachées dans le dos… Et je marche sur un trottoir. Oui, un trottoir. Comme celui de votre quartier. Bon sang, ça pourrait même être devant chez vous. Je n’ai jamais été dans cet endroit de la ville auparavant, mais je marche sur le trottoir alors qu’ils m’ont mis un collier et une laisse. Je suis comme un chien qu’on promène. Oh, mais j’ai oublié de vous dire que je dois faire rebondir mes gros seins quand je marche. Et qu’ils ne se gênent pas pour claquer mon gros cul alors que je dois dire à haute voix qu’ils vont tous me passer dessus et détruire ma chatte.
Ouais, c’est pour ça que je suis la salope la plus stupide de la planète.
Il y a un type devant moi qui tient la laisse et me tire vers ce qu’ils ont dit être le parc. Derrière moi, les autres suivent, tous les six. Du moins je pense qu’ils sont six, peut-être plus. Avant que de nous diriger vers le parc, ils m’ont obligée de les sucer sur la pelouse devant la maison. J’ai eu l’impression qu’ils étaient vingt, car je suis sûre que certains sont passés une seconde fois.
En résumé, j’ai été trompée, purement et simplement. Après avoir discuté avec le gars de l’annonce et que nous ayons tous les deux mis des limites à ma participation, il m’a donné une adresse. Je m’y suis rendue et je me suis garée un peu plus loin. Mais voilà, la maison n’était pas leur maison. C’était une maison à vendre. Ils ont arraché le panneau et ils sont entrés par effraction. Puis ils ont tout installé pour pouvoir tout enregistrer.
Une fois que leur plan me fut révélé par leur chef, celui qui avait manifestement tout organisé, celui-ci m’a dit que je pouvais tout arrêté si je le voulais. Il m’a assuré qu’ils arrêteraient tout ce qu’ils étaient sur le point de me faire. Mais dans ce cas, il m’a dit que, pour leur sécurité, ils m’enchaîneraient dans un lieu public et qu’ils appelleraient la police. Ainsi tout le voisinage pourrait me voir et que je pourrais peut-être même passer dans le journal local.
Donc je n’ai rien dit, et maintenant que je marche pieds nus sur le trottoir, je les entends se moquer de moi, m’insulter et appeler les gens pour regarder. Heureusement c’est presque la nuit et l’endroit est désert. On peut difficilement me voir sauf quand je suis éclairée par un lampadaire.
Je déteste l’admettre, mais c’est une des choses que j’ai révélées : Je voulais être humiliée. J’ai beaucoup vu de vidéos sur le sujet sur internet et j’ai toujours pensé que ça devait être excitant. Seulement, je pensais que ça se passerait dans l’intimité d’une maison et non pas en public où le monde entier peut voir et entendre.
– Allez, dis-le, salope! Dit l’un d’entre eux alors qu’un claquement résonne alors qu’il gifle mon cul nu avec sa main ouverte.
Comme d’habitude, je crie de douleur et je fais plusieurs pas rapides en avant. Ma fesse me brûle et l’empreinte de sa main doit rester sur mon cul. Je ne peux pas la voir, mais je la sens.
– Je vais me faire baiser par tout le monde et ma chatte sera détruite! Crié-je Ataşehir travesti en faisant rebondir le haut de mon corps pour que mes seins bougent de façon comique.
Encore une fois, ils rient tous et se moquent de moi alors que j’entends l’écho de ma voix. Je déteste l’admettre, mais faire balancer mes seins était une autre de mes idées pour mon humiliation. J’avais lu une histoire dans laquelle un violeur avait obligé sa victime à sauter sur place, les mains en l’air, pour faire rebondir ses seins. Il le faisait non seulement pour l’humilier, mais aussi pour lui faire sentir que c’était lui qui avait le contrôle et qu’elle ne pouvait rien faire d’autre que lui obéir. Je ne savais pas qu’ils allaient me le faire faire sans arrêt. Mes seins, qui sont beaucoup plus gros que la normale, sont gonflés par tous les balancements qu’ils m’ont fait faire.
C’est comme ça, que moi, une trentenaire intelligente et mature avec une bonne carrière, me retrouve nue à marcher sur un trottoir, traînée en laisse. J’ai été piégée par une bande d’adolescent d’à peine plus de dix-huit ans. Je suis impuissante face à eux et à ce qu’ils veulent me faire. Dieu merci, je ne suis pas mariée et je n’ai pas d’enfants.
– Aïe!!! Arrêtez ça!
Je crie alors que de multiples choses frappent mon dos. Ça ne fait pas si mal que ça, mais ça a l’air tranchant. Puis je le sens à nouveau, mais cette fois-ci, ils rigolent encore plus, sûrement à cause de ma réaction. En tournant un peu la tête pour regarder derrière moi, je vois quelques-uns d’entre eux prendre des poignées de terre dans les cours des maisons voisines avant de me les jeter dessus.
Le visage rouge de honte, je sens chaque poignée de terre qu’ils lancent. Elles atteignent principalement le haut de mon dos où elles rebondissent la plupart du temps, mais je sens un peu de matière granuleuse qui s’accroche à moi. Ce jeu dure quelques minutes jusqu’à ce que l’un d’entre eux prenne une grosse poignée et la vide sur ma tête. La terre tombe en pluie sur moi. Et un autre, peut-être le plus gros connard du groupe, passe sa main devant moi pour me montrer la terre qu’elle contient avant de l’étaler sur mon visage. Surprise, je n’ai pas le temps de fermer la bouche et elle se remplit de terre. Alors que j’essaie de la recracher, tous les gars rigolent en se moquant.
Ils me permettent quand même de m’arrêter pour que je puisse cracher toute la saleté de ma bouche. Mais après quelques secondes ils me giflent de nouveau le cul pour m’indiquer que je dois redémarrer. Pendant plusieurs minutes je marche alors que de temps en temps ils me claquent le cul et me demandent de répéter la phrase vicieuse qu’ils m’ont appris.
– Nous y sommes! Dit le chef une fois que nous avons passé la dernière maison.
Il passe devant moi pour se placer devant tout le monde. Contrairement au reste du groupe, ce gars me semble plus intelligent, plus sympathique, voire plus beau que les autres. Mais il semble aussi plus vicieux, je vois parfois une étincelle méchante clignoter dans ses yeux.
Je prends une profonde respiration et je regarde où il montre. De l’autre côté de la rue se trouve un parc de quartier tout à fait normal. C’est le genre de parc qui se trouve dans n’importe quel quartier de la classe moyenne. De grands buissons l’entourent, si bien que, d’ici, on ne peut pas voir à l’intérieur à moins de regarder par l’entrée.
Comme je l’ai déjà fait une centaine de fois, je regarde aux alentours pour voir si quelqu’un me regarde. Au début de la soirée, quand je suis arrivée à la maison, quelques personnes travaillaient dans leur jardin. Mais depuis, il n’y a plus personne dehors. J’ai bien quelques rideaux bouger comme si quelqu’un regardait dehors, mais les personnes se sont cachés quand j’ai regardé.
Inquiète, je regarde le parc pour essayer de voir s’il y a quelqu’un ou si je peux entendre quelque chose. Comme le soleil vient de se coucher, il ne devrait y avoir personne. En tout cas, plus d’enfants. Mais avec ma chance, il restera peut-être un groupe de vieux vicieux qui voudront voir le spectacle.
L’homme qui tient ma laisse tire fortement dessus, me faisant avancer d’un coup sec. Je manque de tomber la tête la première, mais je réussis à garder l’équilibre. Il me conduit dans le parc et comme je le pensais (et l’espérais), il est complètement vide.
Ne perdant pas une occasion de rendre ma situation aussi horrible que possible, les gars montrent du doigt les différents équipements lorsque je passe devant eux et ils me disent comment ils vont me baiser dessus. Ils détaillent bien en me racontant comment ils vont faire et comment je vais souffrir.
Enfin, on me dit d’arrêter quand on arrive aux barres de singe. C’est un équipement dans lequel on se déplace avec les bras en agrippant des barres alors que le corps est suspendu. La hauteur fait un mètre de plus que moi, ce qui me surprend. Quand j’étais enfant, j’avais l’impression que les barres étaient bien plus Ataşehir travestileri hautes. Aussi bizarre que ça puisse paraître, je me demande si j’ai la force de la faire alors que je suis adulte.
– Tourne-toi et regarde-moi, petite pute! Et continue à faire bouger tes nichons! Déclare le chef sur un ton narquois.
Alors je me retourne lentement en continuant à sautiller pour que mes seins douloureux et gonflés continuent de rebondir. Le gars sait le pouvoir qu’il a en ce moment, car quand je me retourne, je ne peux pas le regarder dans les yeux. Je me sens si incroyablement inférieure et pathétique comme ça, comme si j’étais un simple jouet sexuel plutôt qu’un être humain. Alors je me force à lever les yeux, et quand je le fais, je rougis, car son regard montre qu’il sait ce que je ressens.
– Nous allons juste avoir une conversation sur ce qui va se passer afin que nous soyons tous d’accord. Me dit le chef comme s’il s’agissait d’un consensus et que je n’étais pas obligée de participer.
Il regarde tout le monde comme s’il s’agissait d’une discussion de groupe. Je lui lance un regard noir alors que ses amis ricanent.
– Nous allons détacher tes mains. Une fois qu’elles le seront, tu devras tendre les bras et attraper une barre dans chaque main, en gardant les bras écartés. Dit-il en me montrant les barres derrière moi.
Je sens mon visage se crisper, car je n’aime pas ce qu’il dit.
– Là, tes bras seront attachés aux barreaux. C’est fait pour nous protéger bien sûr. Tu voudras peut-être nous attaquer, donc nous devons être prudents. Comprends-tu? Me demande-t-il en me fixant.
Quelque chose dans son regard me donne l’impression qu’il me lance un avertissement, que je ferais mieux de faire ce qu’on me dit, sinon… J’ai bien l’idée de m’enfuir dès qu’ils m’auront détachée, mais ils ont dû le sentir, car ils forment un cercle autour de moi.
– J’ai compris. Dis-je
Aussitôt quelqu’un tripote la corde autour de mes poignets. Comme c’est dans mon dos, je ne peux pas voir ce qui se passe, mais je suppose qu’on me détache.
Je constate alors que l’un des membres du groupe tient un caméscope et filme. Il a probablement enregistré tout depuis le début. Et d’après ce que je vois, il se concentre sur mon visage, capturant chaque émotion que je ressens.
La corde glisse sur mes poignets. La première chose que je fais est de me frotter les poignets, car la corde était serrée. J’essaie de faire disparaître la douleur, mais je sais que ça ne sert à rien. Alors, pour gagner du temps, je regarde mes mains en me demandant si je dois me mettre à courir ou non. Je suis certaine que si je le fais, ils vont me rattraper. Et qu’ils m’enchaîneront comme ils l’ont dit, me laisseront seule et publieront les vidéos faites en s’assurant que ma famille et mes amis les voient. Ils m’ont même dit qu’ils avaient trouvé mon Facebook avec l’adresse mail que j’ai utilisée pour les contacter.
Ne voyant pas de moyens de me sortir de cette situation, je fais un pas en arrière pour me retrouver sous les barres. En essayant de garder un peu de dignité, je lève les bars et je m’accroche à deux barres séparées et assez éloignées l’une de l’autre. J’entends des ricanements moqueurs. Comme je le fais sans que l’on m’oblige, j’ai l’impression d’être une pute. C’est un sentiment étrange que d’être forcée sans vraiment l’être.
Deux gars s’avancent et commencent à attacher mes poignets aux barreaux avec des cordes. Je soupire, car ce n’est pas beaucoup mieux que d’avoir les bras attachés dans le dos.
Une fois que mes mains sont attachées, les deux gars se baissent. Je ne m’y attendais pas et pendant un moment je panique en pensant qu’ils vont faire quelque chose à mes pieds. Mais ils se contentent de saisir mes chevilles pour les tirer vers l’extérieur. Incapable de m’en empêcher, j’essaie de lutter et de ruer, mais ils sont beaucoup plus forts que moi et mes jambes sont de plus en plus écartées. Ils continuent à m’écarteler jusqu’au maximum.
Un autre gars s’avance pour les aider. Il a une corde dans les mains. Il attache une extrémité à ma cheville. Alors que l’un me tient une jambe, les autres tirent sur l corde et commencent à l’attacher sur le cadre des barres de singe. Je me rends compte qu’ils me font faire un grand écart, mais debout.
– Tu passes une bonne soirée? Dit le chef sur un ton tranquille comme si c’était une soirée normale entre amis où nous discutions calmement.
Il se tient à côté de moi. Il n’a l’air de rien et regarde autour de lui.
– Joli parc. Agréable et accessible. Beaucoup d’espace. Je pense que les gens pourraient voir ton corps nu sous n’importe quel angle. Bien sûr, depuis l’entrée, on a une vue incomparable sur tes nichons et ta chatte. Dit-il en riant.
Il s’éloigne alors et les autres le rejoignent, sûrement pour finir de me mettre à l’épreuve. Je suis maintenant complètement attachée aux barres de singe, bars et jambes écartées. Je teste la solidité Travesti ataşehir de la corde, mais elle est serrée et il n’y a aucune chance que je me libère. D’ailleurs je suis assez surprise que ces trous du cul ne m’aient pas attaché le cou d’une manière ou d’une autre.
– Et maintenant? Questionné-je avec mépris.
Je n’ai pas d’autre arme pour le moment pour me défendre. Et comme je suis complètement impuissante, je ne peux pas dire quelque chose de méchant ou de contrariant qui les mettrait en colère.
– Oh, juste ce que tu as demandé! Dit le chef en revenant retirer la laisse de mon collier.
L’un des gars lui tend un sac à dos. Cool et très calme, il le prend et commence à le dézipper. Ensuite il place la laisse à l’intérieur.
– Tu te souviens de nos longues discussions où tu disais tout ce que tu voulais essayer? Demande-t-il.
En disant cela, il sort quelque chose du sac à dos. Il jette celui-ci sur le sol pour que je puisse voir ce qu’il a pris. Tout de suite je secoue la tête pour dire non. La panique s’installe dans ma tête.
– NON! Non non non, vous ne pouvez pas! Laissez-moi!
Je supplie et je tire sur les cordes pour me libérer. Les autres garçons rigolent et je vois leur chef sourire. Cet enfoiré tient un fouet à plusieurs queues. Il est peut-être petit et semble ne pas être fait pour faire mal. Mais je pense que ça fait quand même mal.
C’est vrai que pendant nos conversations, j’avais mentionné que j’avais toujours voulu savoir ce que ça faisait d’être fouettée, mais je n’avais pas parlé d’un vrai fouet qui pouvait laisser des marques. Nous avions alors parlé des parties du corps à fouetter, de la sensation que cela pouvait procurer et de la raison de cela. La conversation avait été pour moi très libératrice… Mais je ne pensais pas que l’on me le ferait.
Le chef balance le fouet, et je vois chacune des queues bouger. Il s’amuse avec encore et encore, mes yeux le suivent à chaque fois. Il joue avec moi et je le sais, mais je sais aussi que je ne peux pas faire grand-chose.
En sifflant, il commence à marcher tout en balançant le fouet. Il me fait clairement comprendre qu’il va passer derrière moi. Je continue à tirer sur les cordes et je me dis que si je n’arrive pas à les casser, je devrais peut-être crier pour demander de l’aide.
SCHLACK! Il vient de balancer le fouet qui touche mon cul nu en plein dans le mille. Je crie en sentant l’impact cuisant de chaque queue du fouet. Chacune d’entre elle trouve ma chair nue qu’elles piquent avec force. Quand le son arrive à mes oreilles, mes yeux sont déjà grands ouverts.
Mais… Ça fait du bien… Non je veux dire que ça pique horriblement. Chaque impact me pique le cul, mais c’est étrangement bon. C’est comme une version sombre de bien-être dans laquelle je sens que ma peau commence à picoter quand ça m’excite. Pour une raison quelconque, cela m’effraie plus que le fait d’être fouettée.
– N’oublie pas que tu l’as demandé! Dit le chef.
SCHLACK! Il me frappe de nouveau et me fait crier de douleur encore plus fort. Ma respiration s’accélère, car je suis sérieusement excitée et j’ai mal. Mais pourquoi? Pourquoi suis-je excitée? Ce truc fait mal! Je devrais pleurer et le supplier d’arrêter, mais je ne le fais pas. Je supporte la douleur alors qu’une partie de moi en veut plus.
SCHLACK! On me frappe à nouveau, mais cette fois, je gémis au lieu de crier. Quand ils m’entendent, ils rient et se disent que j’aime ça, que je suis un monstre de foire. Puis ils demandent à celui qui filme de faire un gros plan sur mon visage le prochain coup de fouet afin que l’on me voie gémir. Tout cela ne fait qu’augmenter le picotement entre mes jambes.
SCHLACK! SCHLACK! SCHLACK!
On me fouette sans me laisser le temps d’y réfléchir. Pendant que le chef s’amuse avec son fouet, les autres crient leurs commentaires, ce qui m’excite encore plus .
– Tu sais que tu le mérites! Disent-ils.
– C’est ce que les salopes vicieuses veulent!
Et à chaque coup, je gémis bruyamment. Je suis de plus en plus dépassée par les évènements. Je veux dire que je suis sur le point de jouir, car il continue à me fouetter. Mon cul tout entier me brûle et me pique, car il n’y a pas une seule zone qu’il ait oubliée. Le fouet est large et couvre tout mon cul à chaque coup. De plus, je crois qu’il ne se contente pas de me fouetter aveuglément, mais il s’applique à couvrir chaque centimètre de ma peau sensible.
– Ça fait du bien, n’est-ce pas? Demande le chef en arrêtant de me fouetter furieusement le cul. Il marche autour de moi en donnant l’impression d’être une personne normale qui se promène et non un salaud qui fouette une femme nue.
Mon sang-froid a maintenant disparu. La haine que j’avais pour lui et les autres est loin, car je me sens brisée et fatiguée. À ce moment, je me repose et ce sont les cordes qui me tiennent. Je suis couverte de sueur alors que je me bats intérieurement pour ne pas avoir d’orgasme après avoir été battue. Je veux dire que je ne peux pas laisser ça arriver. Je ne peux pas être perturbée au point de jouir à cause d’une flagellation. Mais j’ai peur qu’un seul petit contact avec mon sexe ne me fasse exploser.
– Ça fait du bien d’être exposée comme ça? Dit sérieusement le chef du groupe.
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