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Chapitre 5 : Jenny forcée de se prostituer dans les deux clubs, la fin du calvaire.
Après dîner, je suis allé à l’ordinateur pour y chercher l’endroit où se trouvait le club où nous devions nous rendre le soir même.
Je préparais un sac avec la caméra des batteries et des DVD de re-change.
Je ne savais pas ce qui allait se passer ce soir, mais je voulais être prêt.
Euh non ce n’est pas exact, j’aurai préféré et de loin que l’on reste chez nous, mais j’avais peur qu’être insuffisamment préparé puisse passer pour une faute aux yeux de monsieur Eng.
Au moment de partir, Jenny enfila son minuscule fourreau transparent et nous sommes partis rejoindre notre voiture.
Il n’était que 18 heures 15 et les rues étaient pleines de monde.
A la vue de Jenny quasiment nue, ils s’immobilisaient pour mieux la relu-quer.
Elle feignait de l’ignorer, mais chaque homme qu’elle croisait et la plupart des femmes bien entendus se figeaient bouches bées sur son passage.
Nous nous sommes pressés de rejoindre la voiture et je démarrais aussi rapidement que je le pus.
Je tendis à Jenny le plan de la ville et elle me guida.
Nous sommes arrivés à bon port en avance de 10 minutes.
Le grand parking était plein, je me dis alors que cette boite devait être renommée.
Le club avait une étrange apparence, si c’était bien un club.
Il s’agissait d’un vieil entrepôt et le seul signe indiquant son activité était une enseigne néon au-dessus de la porte indiquant que les lieux étaient ouverts.
Rien n’indiquait ce qui se trouvait derrière la porte.
Mais dès que nous sommes sortis de la voiture, on entendit une lourde musique, j’offrais mon bras à Jenny et nous avons marché au supplice.
J’ouvrais la porte, deux colosses noirs qui se tenaient dans le hall nous sourire de toutes leurs dents, je me disais que si c’était là tout ce qui de-vait arriver, nous devrions passer une bonne nuit à danser.
Nous nous sommes retrouvés dans une salle immense avec plusieurs scènes entourant la piste principale, sur chacune de ces estrades se démenaient de ravissantes jeunes femmes blanches qui dansaient de façon fort impudique.
L’assistance était constituée d’hommes, tous noirs
Nous sommes entrés et je jetais un coup d’œil circulaire et finalement remarquais un endroit qui ressemblait à un bureau au fond du bâtiment.
Nous avons entrepris de traverser la foule pour gagner ce bureau, tout le long de cette traversées Jenny fut agrippée et pelotée à outrance.
Elle feignit d’ignorer ces peloteurs, tout au moins autant que possible.
Tandis que nous nous dirigions vers notre but je jetais un oeil sur les scènes ou je suis bien certain qu’évoluerait bientôt Jenny pour distraire les consommateurs..
Elles étaient très petites et rehaussées d’environ un mètre, les filles étaient largement à portées des mains des hommes qui de temps à au-tre exploraient sans vergogne leurs charmes les plus intimes.
Toutes les filles dansaient un sourire de commande plaqué sur le visage, alors qu’elles subissaient toutes sortes d’avanies.
Il était évident que chacune d’elle était ici contre sa volonté.
Finalement nous sommes arrivés au bureau, je toquais puis entrouvris la porte, un noir nous fit signe d’entrer
Je sortais la caméra dès que nous fûmes entrés me tenant prêt à filmer si quelque chose se passait.
Je trouvais plus sage d’être prêt à toute éventualité.
Le bruit assourdissant se mua en fond sonore lorsque la porte se refer-ma sur nous, au moins nous pouvions maintenant converser.
Ils étaient trois dans le petit bureau, ils étudièrent Jenny pendant un long moment, puis l’un d’eux lui demanda :
-“Sais-tu ce que tu dois faire ce soir? ….”
Jenny les regardait terrifiée, elle secoua la tête et répondit platement :
-“Non, monsieur… “
L’homme qui nous avait fait signe d’entrer s’approcha d’elle, je commen-çais à filmer alors que sa main courait sur son corps.
Elle frémit mais ne bougea pas.
Elle continuait à regarder l’homme qui penché sur son bureau l’observait attentivement en poursuivant :
-“Une fois par heure tu devras monter sur une des petites scènes et danser sur trois airs joués par l’orchestre, ce n’est pas une forme de strip-tease, tu seras nue dès le départ…… D’ailleurs donne-moi ton fourreau….. Tu ne porteras aucun vêtement avant de partir au petit matin! ….”
Jenny défit l’unique bouton qui fermait son fourreau, l’enleva prestement et le lui tendit servilement.
Il l’étendit sur son bureau et regarda un de ses amis trituraient les ni-chons de Jenny alors que je filmais docilement la scène.
Ils m’ignoraient tous totalement.
-“Lorsque tu danseras…” ajouta-t-il “tous les spectateurs pourront venir palper tes appâts à leur guise… Tu ne devras jamais refuser une caresse… Est -ce clair? …..”
Jenny acquiesça d’un signe de tête et l’homme poursuivit la description de ce qu’elle devait faire..
-“Quand tu n’es pas sur la scène tu travailles en salle, tu sers les consommations ukraynalı gaziantep escort et tu promènes tes appâts parmi la clientèle….. Les consommateurs peuvent te baiser à tout moment! …..”
-” S’ils veulent te sauter, ils ont juste à t’empoigner par le bras et à t’emmener dans une des petites chambres au fond de la salle….. Bien sur ce n’est pas gratuit! …..”
-“Mark s’assiéra sur un banc face à la porte de ta stalle ton client devra le payer avant de pénétrer avec toi dans le box! ….. Puis il vous suivra et filmera la scène le temps que tu te fasses sauter”
-“Une fois que tu auras satisfait les appétits lubriques de ton client tu te nettoieras et tu reprendras ton rôle de serveuse jusqu’à ton prochain show; ou qu’un autre amateur décide de te fourrer! ….”
-“Cela me semble simple… Non? ….”
Jenny hocha la tête mais je vis une larme rouler sur sa joue, l’homme lui sourit et ajouta :
-“C’est encore mieux si tu détestes ce que tu dois faire… Les clients adorent baiser des femmes contre leur volonté! …. Mais tu devras pourtant afficher un sourire forcé quant tu seras en main, ce sera ton seul uniforme! ….”
Il y eut du brouhaha à l’extérieur et l’homme qui venait de dicter ses consignes à Jenny poursuivit :
-“Tu vas pouvoir assister à la punition d’une fille qui vient de refuser une cajolerie à un client! …”
Il la poussa vers une grande baie vitrée qui donnait sur la salle et se pla-ça dans son dos.
Il descendit sa braguette et sortit une grosse et longue bite noire de son caleçon qu’il frotta dans l’entrecuisses de Jenny, puis il la courba en avant et la fourra rudement.
Elle grogna de douleur sous la violente pénétration, il s’immobilisa alors et ils regardèrent de concert la femme en question qui était traînée, une laisse autour du cou, jusqu’à la scène centrale.
Le gérant commença à baiser lentement Jenny alors que la malheureuse rebelle tombait à genoux, la laisse fut liée à un anneau au sol.
L’homme qui l’avait amenée lui dit quelques mots à l’oreille et je la vis hocher la tête, mais je voyais aussi un air l’expression terrifiée qu’affi-chait son visage lorsqu’il se recula.
La foule manifesta bruyamment à la vue d’une autre jeune femme entiè-rement nue qui s’approchait de la scène, lorsqu’elle grima sur la scène je vis qu’elle amenait un gros chien.
Je vis Jenny haleter horrifiée alors que l’homme qui la fourrait lui dit :
-“Regarde bien, tu dois bien comprendre que tu es là pour te faire baiser, et que toute désobéissance aux règles est sévèrement pu-nie! ….”
J’ai cru que j’allais vomir quand j’ai vu la femme installer le chien dans le dos de la punie puis lui enlever sa laisse.
Je suppose qu’il avait déjà participé, à la punition d’autres femmes dans le passé car il n’eut aucune hésitation.
Il enfourcha la malheureuse agenouillée sur la scène, elle regardait les spectateurs un pauvre sourire résigné aux lèvres alors que de grosses larmes ruisselaient sur ses joues, le chien commença par humer son en-trecuisses puis entreprit de le lécher avec enthousiasme.
Le chien commençait à être sérieusement excité, quelques minutes plus tard, il grimpa sur le dos de la femme et chercha à tâtons à la fourrer en donnant de grands coups de ventre vers l’avant.
La foule l’encouragea sadiquement lorsqu’elle tendit la main en arrière et guida son organe incroyablement long dans sa cramouille.
Son visage se tordait de douleur alors qu’il la bourrait, mais immédiatement elle réafficha ce sourire figé alors qu’il la martelait frénétiquement de violents coups de boutoir sous les applaudissements de la foule des spectateurs.
J’apercevais un blanc au bord de la scène qui semblait très angoissé alors qu’il pointait sa caméra sur ce show punitif, c’était sûrement sa femme qui se faisait grimper par un chien!
Je ne pus regarder plus longtemps, je me focalisais sur Jenny qui se fai-sait sauter par le gérant de l’établissement.
Il était ravi du spectacle et se mit à accélérer le rythme de ses pénétra-tions et jouit juste au moment où je reportais mon attention sur Jenny.
Il se retira de sa moule et une fois qu’elle eut nettoyé minutieusement sa bite, un autre sbire s’installa entre ses cuisses.
Les trois hommes dans le bureau eurent tout le temps de la baiser avant que le chien en eut fini avec la femme sur la scène.
Une fois le chien emmené, elle demeura agenouillée sur la scène, des hommes s’approchèrent d’elles, et bien que je ne puisse les entendre, je compris qu’ils lui annonçaient des choses terribles alors qu’elle se tenait toujours agenouillée les joues sillonnées de grosses larmes.
L’un des hommes lui malmenait les nibards mais ils laissaient tous libre accès à ses fesses.
Lorsque les trois hommes dans le bureau en eurent terminés avec Jenny l’homme qui nous avait fait entrer lui désigna la petite stalle où elle opé-rerait.
C’était une toute petite pièce, meublée d’un lit d’enfant et d’un évier pour se nettoyer gaziantep ukraynalı escort la chatte après utilisation.
A l’entrée de la stalle se trouvait un petit banc de traite des vaches qui visiblement avait été choisi pour humilier les maris assis sur ces bancs qui attendaient de faire payer les clients qui voulaient tirer un coup avec leurs femmes.
Lorsque j’étais assis sur ce banc, ma tête se trouvait à hauteur de leur taille.
Puis l’homme me désigna le barème accroché au mur à coté de la porte et la petite horloge posée sur une table de chevet à la tête du lit.
Le premier show de Jenny était programmé à 8 heures, dans à peine 20 minutes.
Tous les shows étaient numérotés sur un planning désignant la petite scène sur laquelle elle danserait.
Je remarquais que ce programme se terminait à 2 heures du matin, elle devrait donc danser à sept reprises pendant 9 à 10 minutes à chaque show.
C’était certainement là, probablement la partie la plus agréable de sa soi-rée.
Notre escorte me fit asseoir sur le tabouret et accompagna Jenny dans le club la main posée sur sa croupe pour s’assurer de sa docilité.
Je la vis disparaître dans un océan de consommateurs noirs qui la pelo-taient avidement a sur son passage.
Mais elle ne fut pas partie bien longtemps!
Je doute qu’elle ait eu le temps d’atteindre le bar avant qu’un gros homme ne revienne avec elle la tirant un doigt enfoncé dans sa foufou-nette.
Ils stoppèrent à l’entrée de son box et le client me tendit un coupon, il semble que les affaires ne se traitaient pas en bon argent sonnant et trébuchant.
Les coupons ne comportaient de valeur et n’indiquaient pas plus le ser-vice requis de la part de la prostituée, ils comportaient seulement le temps imparti au consommateur.
Celui qu’il me tendait était valable pour 15 minutes,
Jenny disposait juste de ce temps avant de devoir se produire sur scène.
Je me levais et suivais le couple qui entrait dans le box et j’entrepris de filmer alors que le gros homme s’étendait sur le lit ordonnant à Jenny de l’enfourcher pour qu’il puisse la regarder le baiser.
Sa flamberge était déjà dure comme du bois!
Jenny qui plaquait un sourire figé sur son visage, se pencha et lui suça la bite quelques instants avant de l’enfourcher et de s’empaler sur son braquemart tendu.
Elle entama une danse de saint gui montant et descendant sur son ventre alors qu’il semblait fasciné par ses tétons qui se balançaient au gré de ses empalements.
Il les regarda se balancer jusqu’à l’instant ou il jouit, puis il empoigna ses nichons et je vis qu’il serrait si fort la chair de ses nibards qu’elle cria de douleur, ce ne l’empêchait pas de continuer à le chevaucher conscien-cieusement.
Elle glissa vers le bas alors que le vieillard se relaxait sous elle et s’immobilisa finalement.
Elle jeta un oeil sur l’horloge, et il lui restait encore trois minutes.
Aussi leva-t-elle pour le prendre en bouche afin de nettoyer sa bite amol-lie..
Elle le lécha proprement et puis le suça le temps qu’il lui restait.
Puis elle l’aida à se relever et lui sourit, elle se rua sur l’évier pour se net-toyer rapidement la chatte dès qu’il fut sorti pour aller ensuite danser sur scène.
Elle se rua à l’extérieur après avoir séché sa chatoune et monta sur scène à l’instant ou la musique démarrait.
Je me tenais debout de l’autre coté du hall où je m’étais assis, de là je pouvais la voir évoluer sur son estrade.
Elle commença à danser au rythme de la musique, balançant ses ni-bards et chaloupant de la croupe, les mains des spectateurs ne ces-saient d’inventorier ses appâts!
Ils lui pelotaient fermement les fesses, promenaient leurs doigts dans sa foufoune, lui doigtait le trou du cul alors qu’elle tentait de maintenir un semblant de rythme à sa danse.
Tandis que Jenny dansait se faisant copieusement peloter, il y eut un défilé de jeunes femmes blanches qui gagnaient leur box accompagnée de leurs blancs maris et de leurs noirs clients, chaque mari ou petit ami se tenait assis sur le banc à traire les vaches situé devant la porte de la stalle.
Et alors que l’orchestre jouait constamment dans la salle principale je pouvais entendre les râles des femmes qui se faisaient sauvagement sauter dans leurs box.
Je braquais à plusieurs reprises mes yeux dans le hall et remarquais que les nombreux petit-amis et maris évitaient de se regarder ou de parler ensemble.
Ils semblaient tous accablés de honte, exactement comme moi d’ailleurs.
Lorsque les trois airs se terminèrent, Jenny descendit de scène jambes tremblantes et je me rassis sur le tabouret attendant son retour.
A peine 5 minutes plus tard elle était dans sa stalle en compagnie de deux clients.
Ils me tendirent tous deux un coupon qui leur accordait 30 minutes e jouissance, et je me remis à filmer, il ignorèrent le lit d’enfant et le prirent à même le sol face à moi.
Ces deux hommes étaient bien plus jeunes que gaziantep ukraynalı escort bayan leur prédécesseur, à peu près de notre âge.
Ils se parlaient constamment dans leur langage africain, il était évident qu’ils se moquaient de nous, prenant grand plaisir à nous humilier.
Ils savaient pertinemment que pas une de ces femmes n’était là de son propre gré.
Ils poussèrent Jenny sur une mince couverture et la prirent par-devant et par derrière pendant l’entière demi-heuree qu’ils l’avaient louée.
Ils jouirent tous deux à plusieurs reprises dans sa bouche et dans sa chagatte, et une fois dans son trou du cul après l’avoir sodomisée pen-dant quelques longues minutes.
Jenny faisait tout ce qu’ils voulaient sans se plaindre, elle criait quand ils lui faisaient mal puis replaquait immédiatement un sourire figé sur son visage, elle était très angoissée par les conséquences si elle les déce-vait.
Le temps qu’elle se nettoie lorsqu’elle en eut terminé avec eux il était dé-jà temps de retourner faire son show.
Elle se posta quelques secondes face à moi se pencha et m’embrassa sur le front, puis elle haussa les épaules et sortit de la petite stalle.
Malheureusement Jenny était une nouvelle très populaire, je me de-mande si elle avait servi une seule boisson de toute la nuit.
La plupart du temps, quand elle ne dansait pas elle se trouvait dans son box à baiser et sucer des clients de tous âges qui la prenaient, avec leurs bites de toutes tailles, dans toutes les positions connues!
Cela ne se termina que sur le coup de 2 heures du matin.
Son dernier show terminé elle était revenue accompagnée de deux consommateurs qui la baisèrent illico dans sa stalle, lorsqu’elle en eut terminé avec ces deux clients, deux autres attendaient leur tour dans le hall.
Ils jouirent tous deux d’elles copieusement chacun leur tour.
C’en était fini de la soirée au club, je comptais tous les tickets avant de les ramener au bureau.
Il y avait 19 coupons, 19 hommes avaient possédé son corps cette nuit, il m’avait semblé qu’ils étaient plus nombreux!
Je rendais les coupons au gérant, il me rendit la tunique de Jenny et nous sommes repartis chez nous.
Il était bien 4 heures du matin lorsque nous nous sommes couchés.
Nous avons dormi jusqu’à 11 heures, nous aurions pu continuer à dormir mais des bruits provenant du salon nous réveillèrent, je me levais à peine que déjà Harold et ses deux copains envahissaient dans notre chambre.
Lorsqu’il vit que nous étions réveillés, il nous demanda :
-Jenny, Mark, vous ai-je manqué?
-……..
-Nous sommes en ville pour une paire de jours, on passe juste vous dire bonjour!
C’était le trou du cul qui nous avait plongé dans cette galère.
Je savais déjà ce qu’ils attendaient de moi, je sautais hors du lit et me ruais dans le salon pour empoigner la caméra vidéo.
Lorsque je fus de retour dans la chambre, Harold se déshabillait et Jen-ny se levait le suppliant de la laisser prendre une douche.
Il hocha la tête affirmativement et elle se précipita dans la salle de bain, quelques secondes plus tard on entendit alors l’eau de la douche ruisse-ler puis les bruits cessèrent et Jenny nous rejoignit, notre chambre me paraissait bien plus petite qu’auparavant avec ces trois colosses noirs se tenant dans l’entrée.
Jenny se posta face à Harold qui posa son bras sur ses épaules, sa grosse bite battait contre son estomac il lui dit :
-On m’a dit que tu étais très prisée au club! … J’espère que tes clients ne t’ont pas distendu outre-mesure la chagatte!… Ton con est si avenant, si juteux! … Ce serait une honte de l’abîmer!
Sur ces mots il la poussa à s’agenouiller et elle entreprit de lui tailler une pipe sans même qu’il le lui ordonne.
Bien sur, je les filmais en pleine action, ils la baisèrent pendant plusieurs heures dans toute la maison.
Ils ne la laissèrent tranquilles qu’une fois qu’elle les eut tous sucés et qu’ils l’eurent tous baisés.
Elle était percluse de douleurs suite à la nuit précédente et on peut dire qu’ils utilisèrent vraiment les restes, mais comme ils s’en foutaient tota-lement!
Dès qu’ils furent partis, j’aidais Jenny à gagner la salle de bain et je lui fis prendre une douche brûlante.
Puis je la séchais avec soin et l’assis à table alors que je préparais notre repas de midi.
Je pensais parfois que nous ferions mieux de nous enfuir, mais je pensais immédiatement aux conséquences qui en découleraient pour mes sœurs et les autres femmes de la famille, de toute manière pour nous ne pouvions partir faute d’argent pour assurer la pitance et le coucher!
Mais surtout, nous étions paniqués à l’idée de ce qui arriverait aux gens que nous aimions si nous nous dérobions!
Nous ne voulions ni l’un ni l’autre alerter les services de police alors qu’ils disposaient de films semblant démontrer que nous avuions utilisé les services de jeunes mineurs, c’était faux, mais comment le démontrer à la vue de leurs visages juvéniles!
Aussi insupportable que cela nous paraisse nous étions contraints d’obéir docilement.
De toute manière nous n’étions pas assez déterminés pour lutter contre des maîtres-chanteurs aussi bien organisés.
Conformément à notre planning nous pouvions aller faire des courses à l’épicerie cet après-midi, nous y avons consacré une bonne paire d’heure, nous aurions aimé y rester plus longtemps mais c’était le temps qui nous était imparti.
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